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                    Joséphine Baker

"Ce que l'on fait avec jubilation, le feu au cœur, comme si l'on avait le diable au corps, est-ce cela que l'on appelle vocation ?"

                    Joseph Chilton Pearce (écrivain)

 

"Les adolescents éprouvent un sentiment de grandeur secrète et unique qui cherche à s'exprimer. La preuve en est la façon dont ils montrent le cœur quand ils cherchent à le faire comprendre."

​                    

​                     Carl Gustav Jung

"C'est le sentiment que la vie a un sens plus large que la simple existence individuelle qui permet à l'homme de s'élever au dessus du mécanisme qui le réduit à gagner et à dépenser"

​                     Carl Gustav Jung

Confidence d'un chef indien du Nouveau Mexique :

"Nous ne comprenons pas les blancs. Ils veulent toujours quelque chose, ils sont toujours inquiets. Que cherchent ils ? Nous ne le savons pas. Nous ne pouvons pas les comprendre. Leurs nez sont si marqués, leurs lèvres minces et cruelles, leurs visages ont des traits accentués. Nous croyons qu'ils sont tous fous."

​                       Carl Gustav Jung

"Tout ce qui nous irrite sur les autres peut nous conduire à une meilleure compréhension de nous mêmes."

​                    Eric Berne (psychanalyste à part et fondateur de l'AT)

 

"L'Enfant (intérieur) constitue à plein d'égards la partie la plus précieuse de la personnalité, et peut apporter à la vie individuelle exactement ce que le véritable enfant peut apporter à la vie familiale : le charme, le plaisir et l'esprit créateur."

 

 

L'adolescence a pour fonction de faire passer l'enfant de la dépendance à l'indépendance en passant, hélas parfois, par la contre dépendance. La contre dépendance se caractérise par un rejet de l'autorité, une affirmation de soi et un sentiment subit de grandeur. Le tout vient faire capoter l'ordre familial établi jusque là.

Chaque enfant respecté est un futur parent qui saura puiser dans sa propre expérience enfantine les compétences pour résoudre les éventuels désaccordages dans le lien avec ses propres enfants.

"Un type de désaccordage dans une famille est le rejet de la nature intrinsèque de l'un de ses membres. Ce dernier est renié en tant qu'être pleinement humain, en tant que personne ou dans son individualité. L'enfant est la principale victime du désaccordage existentiel lorsque son processus d'adaptation à son environnement familial, culturel et social, l'éloigne trop de lui-même. L'enfant ressent qu'il ne peut pas être lui-même, être aimé, considéré et reconnu tel qu'il est, pour ce qu'il est et à l'âge qui est le sien. Il se sent contraint de devenir un autre et de mettre une grande partie de ses ressources et de ses compétences au service des grandes personnes. Ses propres limites sont, elles aussi, niées et toutes tentatives de défense de son territoire - l'expression d'une légitime agressivité - sont sévèrement jugées et parfois réprimées."

Et vous ? Êtes-vous passé par là ou ... avez-vous l'impression de faire subir cela malgré vous à vos enfants ?

Un autre type de désaccordage est une condamnation du comportement de l'un de ses membres dont le fonctionnement ne correspond pas à la "normalité" définie par les codes sociaux, culturels, religieux ou familiaux.

Est-ce que cela parle à quelqu'un ? Moi, ça me parle.

Assurer leur sécurité, répondre à leurs besoins et ... écouter (Sans s'oublier).

"Le Soi enfantin s'exprime principalement à travers des perceptions subtiles et une intelligence spontanée et inspirée. L'enfant nait avec une sagesse précieuse pour le monde adulte, mais sans expérience pratique de la vie."

On n'a pas forcément envie de l'entendre mais ...
"Le symptôme chez l'enfant relève toujours d'un problème familial, c'est à dire d'un ensemble d'informations erronées qui gangrènent et altèrent les liens intrafamiliaux dans le temps."

Pour les parents qui se croient sortis de la cuisse de Jupiter :
"La toute - puissance ou la toute - nuisance parentale sont des illusions ; plus la fonction parentale est puissante et dotée de pouvoirs mythiques, plus il est difficile pour le parent de reconnaître ce qui est réellement source de dysfonctionnement ou de croissance au sein de sa famille."

Même si cela n'apparaît pas dans les demandes de suivi qui me sont formulées, je remarque que ces scénarios familiaux sont légion.

"Etre parent toute sa vie - en endossant régulièrement et activement cette fonction - revient à revêtir une identité qui, semblable à un vêtement, devient au fil des années de plus en plus étroite et défraichie. Cet accoutrement vieillit mal et se révèle bien souvent aussi décalé que dommageable. L'éternel parent face à son éternel enfant peut se satisfaire de cet habit, le trouver valorisant ou nécessaire pour avoir le sentiment d'exister. Pourtant, par-delà cette identité parentale qui n'a plus lieu d'être se dévoile un horizon à atteindre, le développement d'un Soi plus intègre et plus ouvert. Une fonction parentale à durée indéterminée peut entraîner l'oubli de soi, l'oubli de la construction de soi. Elle est également une source de souffrance pour celles et ceux qui se perdent sur les chemins de l'hyperparentalité soumise à de nombreux diktats inhumains. Elle se répercute sur le bon fonctionnement familial qu'elle prétend favoriser."

Exemple de communication et de transaction à double fond :
Après que mes enfants et moi ayons passé la journée avec ma sœur à La Louvière, nous reprenons le train pour Bruxelles. Lors du contrôle des titres de transport, l'accompagnateur de train me dit : "Vous, vous ne prenez pas le train souvent !" avec une intonation et expression du visage légèrement condescendantes. Je réponds "Non, pourquoi ?". "Parce qu'il existe des billets "Youth tickets". Vous auriez économisé X euros !" J'étais partagé entre me justifier de mon "erreur" ou l'envoyer chier lui et son air supérieur. J'ai opté pour la formule de politesse et l'ai remercié pour l'info. Car info il y avait. Par contre, dans sa manière de la transmettre il pouvait mieux faire. En effet, moi et mes filtres (liés à mes croyances et mes blessures) avons perçu une pointe de sarcasme et de position supérieur susceptibles d'éveiller chez moi l'Enfant Adapté Soumis avec son sentiment d'avoir mal fait, de culpabilité et le besoin de se justifier. Ou d'éveiller l'Enfant Adapté Rebelle avec les mêmes sentiments mais avec une réaction toute autre. Pour finir, c'est depuis mon Etat du Moi Adulte que j'ai préféré répondre pour éviter un couac. Je ne saurai jamais si l'intention de l'accompagnateur était de faire réagir tel ou tel Etat du Moi chez moi et j'en doute fortement. Mais, ce qui est sûr, c'est que le choix (inconscient) de l'Etat du Moi de l'émetteur du message influe à tous les coups sur la manière dont le récepteur percevra et interprétera le message.

"Les crises, les bouleversements et la maladie ne surgissent pas par hasard. Ils nous servent d'indicateurs pour rectifier une trajectoire, explorer de nouvelles orientations, expérimenter un autre chemin de vie". C. G. Jung.
Etre à l'écoute de son corps, du moment propice, de son rythme interne, de ses propres scénarios répétitifs de vie et d'y trouver un sens (hors des convenances). Tout un programme qui, malgré la pénibilité du chemin à emprunter, en vaut certainement la peine.

"En chacun de nous existe un autre être que nous ne connaissons pas. Il nous parle à travers le rêve et nous fait savoir qu'il nous voit bien différent de ce que nous croyons être". Citation de Carl Gustav Jung. Il peut aussi s'exprimer lors de crises ou de stress intense et nous faire dire ou faire des choses que l'on ne dirait ou ferait jamais en temps normal. Il peut nous faire peur voire même nous dégoûter. C'est dommage d'avoir un jugement si prononcé envers cet autre nous car, en fin de compte, il nous montre la voie et est susceptible de nous sortir de nombres d'embarras. Il est vrai qu'il s'exprime souvent violement ou de manière inconvenante mais comment pourrait-il faire autrement puisqu'il n'a que trop rarement l'occasion de le faire. Nous avons tous et toutes intérêt à nous y intéresser et à descendre un peu dans nos eaux troubles personnelles.

"Réfléchir c'est difficile, c'est pourquoi la plupart des gens jugent". Cette citation de Carl Gustav Jung illustre bon nombre de problèmes relationnels. De soi à l'autre mais aussi de soi à soi. Le jugement de l'autre peut l'inviter à se mettre en position existentielle haute ou basse avec, dans les deux cas, un risque de jeux psychologiques qui nous amènent souvent à ruminer nos croyances sur soi, les autres et le monde. En fonction de l'intensité de ces jeux, il peut en résulter des conflits relationnels plus ou moins grands. Ne pas juger est très compliqué mais apprendre à revoir son jugement est plus accessible et est la clé de l'acceptation de soi et de l'autre. Et de relations plus harmonieuses.

J'ai découvert la notion de double transfert en lisant un ouvrage de Bert Hellinger.
Dans un ouvrage dédié à la réussite des entreprises Bert Hellinger nous fait part de sa théorie que dans un double transfert, certains sentiments sont transférés d'une personne sur une autre. Généralement il s'agit de sentiments très douloureux qu'une certaine forme d'impuissance ne permet pas d'extérioriser. Sans qu'ils en aient conscience, des descendant les reprennent de leurs aïeux. Lorsque nous sommes pris dans un double transfert, nous ressentons ces sentiments, en réalité repris, comme étant les nôtres. Cela signifie alors que ces sentiments cherchent un autre sujet qui n'y est pas soumis, quelqu'un qui peut les exprimer sans difficultés, sans courir de risques personnels. Ces sentiments sont alors transférés sur une personne ou un groupe qui n'était pas impliqué dans l'injustice commise à l'origine. C'est, en quelque sorte, une manière de faire payer une injustice commise par quelqu'un qui n'est plus à quelqu'un qui n'a rien fait mais qui fait penser à par son statut et/ou sa façon d'être. Dans mes accompagnements de couples et de familles, je peux régulièrement observer des jeux psychologiques amenant à dénigrer l'autre, l'infantiliser voire même le punir.
Bert Hellinger aborde les difficultés passées et actuelles de la condition féminine comme étant source de double transfert. Peut-être que je me trompe mais il m'arrive d'observer que les difficultés liées à la condition masculine (si si ça existe) sont également parfois source de double transfert.
Dans tous les cas merci à Bert Hellinger et à d'autres de nous faire part de leurs observations et de leurs théories issues du travail de toute une vie.

Les parents laissent des traces.

"Les parents, délibérément ou sans le savoir, apprennent à leurs enfants, dès la naissance, à se comporter, à penser, à ressentir et à percevoir. Se libérer de ces influences n'est pas chose facile ... En fait, ce n'est possible que parce que l'individu débute dans la vie comme un être autonome, c'est à dire capable de conscience, de spontanéité et d'intimité, et qu'il peut plus ou moins décider de ce qu'il acceptera des enseignements de ses parents."

Eric Berne dans Des Jeux et des Hommes.

Les parents laissent des traces (suite).

"La plupart de ce qui nous est enseigné au sein de la famille nucléaire est de nature oppressive, et c'est pourquoi je relie ce qui est appris à tous les petits enfants à l'entrainement initial qui est fourni à toutes les jeunes recrues dans l'armée. Si l'expérience du service militaire peut être variée suivant les situations, pratiquement chaque nouveau soldat commence par aller dans une caserne pour y apprendre à faire un certain nombre de choses. Dans la famille, tout comme dans l'armée, ce qu'il faut apprendre à faire est difficile, désagréable et arbitraire. Et comme dans l'instruction militaire, ce qu'il faut apprendre est considéré par les instructeurs comme par les recrues, comme quelque chose de valable et de nécessaire à l'accomplissement de la "maturité" et du succès."

Claude Steiner.

L'entrainement initial de la vie implique une attaque systématique contre les trois potentialités humaines fondamentales : le potentiel d'intimité, c'est à dire la capacité à donner et à recevoir de l'amour humain ; le potentiel de conscience, c'est à dire la capacité à comprendre le monde et ses habitants ; et le potentiel de spontanéité, c'est à dire la capacité d'expression libre et joyeuse de l'Enfant Libre.

Enfants hyperactifs.

"Comment veut-on intégrer l'enfant hyperactif dans la famille si on considère, par exemple, que son trouble est d'ordre génétique, ou encore qu'il s'agit de graves écarts de conduite dont il faut venir à bout par de strictes mesures éducatives ? L'une et l'autre interprétations passent à côté des vraies causes de l'agitation des enfants. Mais, si nous sommes prêts à voir que ces émotions ont leur source dans la réalité, sont des réactions à des carences, des mauvais traitements ou plus précisément, à l'absence d'une communication nutritive, nous ne verrons plus en eux des petits diables turbulents, mais des enfants qui souffrent et n'ont pas le droit de savoir pourquoi."

Alice Miller.

Plutôt que de les juger ...

"L'anorexie passe pour un trouble très complexe, et son issue est parfois mortelle. L'être qui en est atteint se torture à mort. Cependant, pour comprendre ce qui est en jeu dans cette maladie, nous devons mettre au jour ce dont le patient a souffert dans son enfance, la torture morale que lui ont infligée ses parents en lui refusant l'indispensable nourriture émotionnelle. Cette démarche semble toute fois susciter un tel malaise chez les médecins qu'ils préfèrent s'en tenir à l'idée que l'anorexie nous reste incompréhensible, qu'un traitement médicamenteux peut certes s'avérer utile mais qu'il n'y aura jamais de véritable guérison. Ce genre de malentendu survient régulièrement lorsque l'histoire relatée par le corps reste ignorée et, au nom du devoir d'honorer ses parents, sacrifiée sur l'autel de la morale."

Alice Miller.

Force contre force.

Un matin, je reçois un appel d’une dame qui cherche un professionnel d’orientation scolaire pour son fils. Je lui réponds qu’elle est bien tombée et lui pose une question qui, pour moi, a de l’importance : « de qui vient la demande ? ». Il y a eu un blanc et puis la dame m’a dit qu’il était « d’accord » et qu’elle-même aurait aimé profiter d’une aide à l’orientation quand elle avait son âge.

Lors du premier rendez-vous, c’est lui qui monopolisa la parole. Mais au moment où je lui demande de me parler de sa maman, un seul mot est sorti de sa bouche : « elle est collante ».

Lors de la passation d'un questionnaire, il n’a pas suivi les instructions et a fait preuve d’une fantaisie pas vraiment bienvenue dans ce contexte. Bref, SABOTACHE.

A la fin de l’entretien au moment de me payer, je fus crédité d’un « vas-y tiens !» sorti tout seul qui fut révélateur de l’état d’esprit du moment et de l’image qu’il s’était faite de moi dans notre « contrat » à trois. Ce fut donc un entretien peu agréable. Tant pour lui que pour moi.

Au deuxième rendez-vous, je me suis illico employé à clarifier la situation et lui faire comprendre que je travaillais exclusivement pour lui même si c’était sa maman qui payait.
Je me suis également employé à lui faire prendre conscience de ce qui se jouait. Maman pousse dans un sens et lui dans le sens opposé. Il est parvenu (à 17 ans seulement) à la même constatation que moi : en agissant de la sorte, tant sa maman que lui dépensaient une énergie folle mais complètement improductive.
A partir de ce moment, toutes les résistances se sont estompées et nous avons enfin pu collaborer.
A la fin de ce deuxième rendez-vous mais aussi à la fin du troisième et dernier, nous nous sommes quittés sur une bonne vieille poignée de mains franche, authentique et anti hygiénique en plein COVID (ça, c’est dit 😉).
Résultat des courses : maman rassurée, enfant éclairé et communication rétablie.

Les Etats du Moi ont pu démontrer que quand il y a excès de Parent Nourricier, il y a de grandes chances d’activer chez l’interlocuteur un Enfant Adapté Rebel. Surtout à l’adolescence.

Le paradoxe c’est qu’un parent ayant fait « l’expérience de » à l’adolescence qui voudrait sensibiliser son ado à la problématique se voit passer pour un « chiant » par son enfant qui n’a pas forcément la clairvoyance suffisante pour prendre du recul et voir l’utilité d’une orientation scolaire.

L’orientation scolaire, comme je l’entends, sert à apprendre à l’adolescent à faire un choix en fonction de lui et non en fonction des attentes des autres qui peuvent engendrer de la soumission ou de la rébellion qui ne sont pas des réponses à des questions ou à des besoins.

C’est l’histoire d’une maman pleine d’amour qui donne naissance à une petite fille. Mais la petite fille arrive avant terme. Bien avant terme.
La maman, inquiète pour la santé de son enfant, est aux petits soins et répond tout naturellement aux besoins augmentés de son enfant.
Aujourd’hui, la petite fille a bien grandi et est une adolescente en bonne santé qui tente de s’affirmer et d’entrer tout naturellement en contre dépendance. Mais elle se heurte à une maman encore et toujours aux petits soins.
Le ton monte régulièrement et la communication passe d’exécrable au mutisme et à l’éloignement de l’adolescente.
Résultat : maman triste et enfant en colère et vice et versa, à tour de rôle.
Situation bien réelle, vécue péniblement au quotidien par une maman et son enfant. Situation également vécue dans tant d’autres familles.
J’ai eu l’opportunité de travailler avec cette maman et ai pu clarifier et adoucir cette relation tendue et destructrice.
J’ai pu aider la maman à comprendre sa tendance dans la relation à sa fille (et à l’autre en général) et ce, grâce à mon écoute, mon non jugement et surtout grâce à des outils simples mais terriblement efficaces que sont :
-        le triangle dramatique
-        le MBTI et le côté potentiellement négatif du sentiment extraverti
-        l’Analyse Transactionnelle et le côté potentiellement négatif du Parent nourricier.

"D'une importance majeure, les relations parents/enfants peuvent servir de socle à l'épanouissement de chacun, permettre d'expérimenter la richesse de la diversité dans l'amour et le respect. Elles peuvent alors forger des adultes qui auront confiance en leur singularité et plaisir à en rencontrer d'autres.

A contrario, ces relations peuvent aussi être un cauchemar, un lieu d'incompréhension, de domination, d'humiliation, de violence psychologique par rapport à un enfant en situation d'infériorité, rabroué pour ce qu'il est. Or, n'en déplaise aux parents, il ne peut être autre que lui-même.

Pour des parents qui cherchent à tout faire pour leur enfant, il est inquiétant, voire culpabilisant de buter sur cette incompréhension fondamentale. Cela peut générer beaucoup de tristesse, de colère, de sentiment d'impuissance. Commencer à comprendre ces différences sans blâmer l'autre ni se culpabiliser est un premier pas et peut même remplacer l'inquiétude par la confiance et l'humour.

Les préférences psychologiques ne sont pas héréditaires. Les enfants représentent donc une chance de se développer à leur contact : ils sont à la fois les plus proches de nous et, en même temps, complétement différents."

J.P. Penley et D.W. Stephens.

Kerklaan 33, 1830 Machelen

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